dimanche 7 mai 2006
Ubiquité
Claire WOLNIEWICZ (Viviane HAMY)
C'est le premier roman de Claire WOLNIEWICZ. Elle écrit d'un style concis, littéraire, et pardon pour le jeu de mots, clair...
Une histoire qui vous prend, vous emmène, vous séduit. Un talent à suivre ! Voici la présentation de son éditrice :
L'auteur est née en 1966. Elle partage sa vie entre PARIS et la campagne. Après un recueil de nouvelles, Sainte-Rita, patronne des causes desespérées, publié en 2003, Ubiquité est son premier roman.
"Le 20 juin la météo prévoyait enfin du beau temps, bien qu'assorti de températures assez basses pour la saison. C'est alors que les choses commencèrent vraiment pour Adam Volladier.
Subitement, il se découvre un don d'ubiquité sociale : sans raison, une foule de gens reconnaissent en lui qui un dentiste clermontois, qui un oenologue, qui un acteur de série télévisée... Adam résiste - très peu -, puis se laisser glisser dans ces identités, émerveillé par les vies qu'on lui attribue, qui l'enivrent et qu'il endosse comme un costume ou une nouvelle veste.
Mais peut-on poursuivre un pareil jeu lorsqu'il s'agit de prendre la place d'un amant ? Que faire lorsque Rita - une femme ravissante travaillant dans une galerie d'art - le prend pour Georges Fondel, l'homme dont elle est amoureuse ? Adam ne réfléchit pas : il sera Georges Fondel.
Le choix, bien sûr, n'est pas sans risques. Le vrai Fondel est un escroc. Après avoir volé une toile célèbre au musée d'Orsay, il a disparu sans laisser de traces et ses complices le recherchent..."
C'est le premier roman de Claire WOLNIEWICZ. Elle écrit d'un style concis, littéraire, et pardon pour le jeu de mots, clair...
Une histoire qui vous prend, vous emmène, vous séduit. Un talent à suivre ! Voici la présentation de son éditrice :
L'auteur est née en 1966. Elle partage sa vie entre PARIS et la campagne. Après un recueil de nouvelles, Sainte-Rita, patronne des causes desespérées, publié en 2003, Ubiquité est son premier roman.
"Le 20 juin la météo prévoyait enfin du beau temps, bien qu'assorti de températures assez basses pour la saison. C'est alors que les choses commencèrent vraiment pour Adam Volladier.
Subitement, il se découvre un don d'ubiquité sociale : sans raison, une foule de gens reconnaissent en lui qui un dentiste clermontois, qui un oenologue, qui un acteur de série télévisée... Adam résiste - très peu -, puis se laisser glisser dans ces identités, émerveillé par les vies qu'on lui attribue, qui l'enivrent et qu'il endosse comme un costume ou une nouvelle veste.
Mais peut-on poursuivre un pareil jeu lorsqu'il s'agit de prendre la place d'un amant ? Que faire lorsque Rita - une femme ravissante travaillant dans une galerie d'art - le prend pour Georges Fondel, l'homme dont elle est amoureuse ? Adam ne réfléchit pas : il sera Georges Fondel.
Le choix, bien sûr, n'est pas sans risques. Le vrai Fondel est un escroc. Après avoir volé une toile célèbre au musée d'Orsay, il a disparu sans laisser de traces et ses complices le recherchent..."
Ce billet, écrit à 21:48 par Marianne dans la catégorie Sélection a suscité :