mardi 15 septembre 2009
Mère Cuba
Nunca fui primera dama (titre original)
Wendy Guerra. Traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon (Stock)
L'ouvrage est une réflexion sur les identités cubaines, d'hier et d'aujourd'hui, vues avec de multiples focale et notamment celles des habitants qui subissent le blocus imposé par les américains ou celles des expatriés qui depuis Miami ou la Russie contemplent leur beau pays.
Les émissions radiophoniques de Wendy, ses oeuvres, ses correspondances, les objets familiaux et les rencontres constituent autant de moyens pour permettre à l'auteur de panser ses racines et tenter de retrouver les traces d'une mère disparue depuis de nombreuses années. Le roman est d'ailleurs construit avec ces fragments qui témoignent de la richesse des matériaux utilisés (et maîtrisés) par l'artiste, auteur à ses heures.
[Ajout du 2 novembre 2009 : Pour en savoir plus, écoutez l'émission "Jeux d'épreuves" du 24 octobre sur France Culture ou lisez Marianne de cette semaine !]
Wendy Guerra. Traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon (Stock)
L'ouvrage est une réflexion sur les identités cubaines, d'hier et d'aujourd'hui, vues avec de multiples focale et notamment celles des habitants qui subissent le blocus imposé par les américains ou celles des expatriés qui depuis Miami ou la Russie contemplent leur beau pays.
Les émissions radiophoniques de Wendy, ses oeuvres, ses correspondances, les objets familiaux et les rencontres constituent autant de moyens pour permettre à l'auteur de panser ses racines et tenter de retrouver les traces d'une mère disparue depuis de nombreuses années. Le roman est d'ailleurs construit avec ces fragments qui témoignent de la richesse des matériaux utilisés (et maîtrisés) par l'artiste, auteur à ses heures.
[Ajout du 2 novembre 2009 : Pour en savoir plus, écoutez l'émission "Jeux d'épreuves" du 24 octobre sur France Culture ou lisez Marianne de cette semaine !]
Ce billet, écrit à 00:28 par Christophe dans la catégorie Sélection a suscité :