Gary Kleiman, libraire, explique la métamorphose de son commerce ainsi : Il y a trop de livres d'occasion en ligne, pas chers, bien moins chers qu'il ne pourrait jamais les vendre. Son seul atout, est de pouvoir commander et recevoir les livres plus rapidement qu'un acheteur lambda.
L'autre atout, c'est qu'on trouve dans ces librairies des gens avec qui parler des livres. La librairie La Mystérieuse compagnie à Carmel a donc ouvert des groupes de discussion, accueille des auteurs et multiplie les événements.
Autre information intéressante : des libraires qui font appel à la communauté locale pour les refinancer et éviter qu'ils ne ferment boutique.
D'autres créent des programmes de fidélité qui permettent d'être invité à des réceptions, d'avoir des cadeaux, etc.
Une belle débauche d'innovation pour remettre le lecteur au centre du processus en tout cas.
Avec des événements partout en France sur la thématique "Une ville, Une oeuvre", sans Strasbourg.
Une chaîne de librairies hollandaise se met à la page des RFID. Lu le 12 octobre 2006 sur ZDNet.
Le premier avantage est de faciliter les inventaires. Pour effectuer l'opération, les employés circulent dans les rayons munis d'un lecteur RFID portable; ce dernier intégre une petite baguette amovible qu'il suffit de passer à quelques centimètres de chaque livre pour le recenser.
Déjà déployé dans les bibliothèques
L'implantation de la technologie RFID en librairie bénéficie de son déploiement plus ancien dans les bibliothèques.