lundi 11 juin 2007
Le loup bleu
Yasushi Inoué (Picquier)
Traduit du japonais par Dominique Palmé et Kyoko Sato
Le loup bleu est le surnom donné à Temujin (Gengis Kahn), fils aîné de Yesügei, chef du clan Borjigin et de Höelun.
Son père meurt vers 1175 alors qu'il n'a qu'une dizaine d'années. Sa famille et lui se retrouvent sans ressources, abandonnés du clan qui s'est rallié aux assassins de son père comme le veut l'usage.
S'ensuivent quelques années de misère, où péniblement la famille tente de se reconstituer un patrimoine : quelques animaux. Il ne fait aucun doute que ces années d'errance ont forgé le caractère du futur conquérant.
C'est par son génie et son habileté que le jeune Temujin va rassembler autour de lui d'autres jeunes gens de valeur et leurs familles avides de conquêtes et d'aventures. Il réunifiera ainsi petit à petit les différentes tribus mongoles.
En 1206, le Conseil des Chefs mongols rebaptise Temujin en Gengis Kahn qui peut se traduire par souverain universel. À sa mort en 1227, il contrôle une bande de terre de 2500 km (distance nord-sud) qui s’étend de la mer Caspienne à la mer de Chine.
De bataille en bataille, c'est à la découverte d'un homme énigmatique que nous convie l'écrivain. Il a reconstitué la vie du premier Khan à partir de l'Histoire secrète des Mongols en cherchant à comprendre d'où venait cet immense désir de conquête.
Un roman historique pour faire la lumière sur l'histoire peu connue d'un des plus grands chef mongols, sinon le plus grand.
Traduit du japonais par Dominique Palmé et Kyoko Sato
Le loup bleu est le surnom donné à Temujin (Gengis Kahn), fils aîné de Yesügei, chef du clan Borjigin et de Höelun.
Son père meurt vers 1175 alors qu'il n'a qu'une dizaine d'années. Sa famille et lui se retrouvent sans ressources, abandonnés du clan qui s'est rallié aux assassins de son père comme le veut l'usage.
S'ensuivent quelques années de misère, où péniblement la famille tente de se reconstituer un patrimoine : quelques animaux. Il ne fait aucun doute que ces années d'errance ont forgé le caractère du futur conquérant.
C'est par son génie et son habileté que le jeune Temujin va rassembler autour de lui d'autres jeunes gens de valeur et leurs familles avides de conquêtes et d'aventures. Il réunifiera ainsi petit à petit les différentes tribus mongoles.
En 1206, le Conseil des Chefs mongols rebaptise Temujin en Gengis Kahn qui peut se traduire par souverain universel. À sa mort en 1227, il contrôle une bande de terre de 2500 km (distance nord-sud) qui s’étend de la mer Caspienne à la mer de Chine.
De bataille en bataille, c'est à la découverte d'un homme énigmatique que nous convie l'écrivain. Il a reconstitué la vie du premier Khan à partir de l'Histoire secrète des Mongols en cherchant à comprendre d'où venait cet immense désir de conquête.
Un roman historique pour faire la lumière sur l'histoire peu connue d'un des plus grands chef mongols, sinon le plus grand.
Ce billet, écrit à 23:57 par Christophe dans la catégorie Sélection a suscité :